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«Débandade»
14,50
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Présentation
« La femme de ta vie – autant que de ton vide.
Elle était tout.
Elle était tout ce que tu n'osais pas – elle te rendait fou.
Le pire se devait d'arriver. Elle avait tout pour plaire, peut-être plus encore, et tu n'y arrivais pas. Toujours la débandade. »
À trente ans, Alexis n’a jamais réussi à faire l’amour. Le désir est bien là, les petites amies aussi, mais rien n’y fait, ça ne marche pas. Lassé et frustré par ses trop nombreuses déconvenues, il décide de se donner les moyens de soigner ce mal-être, et entreprend de réveiller ce qui dort. Entre échanges tarifés, assemblées chastes, divan du psy et backroom, Alexis se lance dans une odyssée atypique, multipliant les expériences et les questionnements, à la découverte d’un paysage sexuel contemporain qui le désole autant qu’il l’attire.
Entre humour et gravité, Clémence Dumper signe un premier roman plein de verve, et entraîne le lecteur dans le sillage d’Alexis vers une résolution inattendue de son insolente débandade.
Alexis a un problème : il est impuissant. Il est célibataire et n'a jamais fait l'amour à trente ans. La vie n'est donc pas rose pour ce pauvre homme qui a pourtant beaucoup de désir pour les petites amies avec lesquelles il est sorti. Ses collègues et ses amis ont tout essayé pour l'aider, même lui payer une professionnelle. Mais rien n'y fait, Alexis n'y arrive pas.
Véritable roman d'introspection, Débandade est une très bonne surprise. Le sexe n'est qu'un outil utilisé par l'auteur pour nous parler du deuil, de la séparation et des troubles psychologiques que l'être humain peut parfois oublier. Le style est agréable mais plutôt classique, le personnage est sympathique mais tellement pathétique à certains moments qu'on arrive réellement à le plaindre. Le livre se penche sur les faiblesses de l'homme, son désir d'être aimé et d'aimer en retour, la peur de la solitude, bref ce roman n'est pas vraiment gai mais il n'est jamais glauque.